Le jargon de la gravure...

Critiques, suggestions, aides et partenariats sont ici les bienvenus !

Le jargon de la gravure...

Messagepar Scaramanga » 23 Nov 2002 7:46

Il y a beaucoup de termes et d'abréviations utilisés en matiére de grauvure de CD.
Cela semblera hermétique, voir rebutant pour les débutants. :confus:

Ne serait il pas interessant de disposer d'un glossaire dans la rubrique"Pour bien débuter..."
Chacun pourrait alimenter cette base de donnée, l'internaute n'aurait qu'à faire une recherche sur le terme inconnu.
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Re: Le jargon de la gravure...

Messagepar syntax error » 23 Nov 2002 9:16

scaramanga a écrit:Chacun pourrait alimenter cette base de donnée


l'idée d'un glossaire, qui ne serait pas alphabétique me semble peu pratique...

on aboutirait à une trop longue suite de posts redondants ou contradictoires

mais pourquoi pas créer cette liste sous forme de post-it verouillé, les apports et modifications étant réalisés sur les propositions des usagers du forum (par MP aux personnes habilitées ou dans une rubrique prévue à cet effet)
syntax error
 

Messagepar ManuKult » 23 Nov 2002 11:10

Bonne idée!--> en post it verouillé :)
Dans la Faq en plus... :D
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Messagepar PIER » 23 Nov 2002 11:49

Cela est prévu en essayant d'ailleurs de tenir compte de la "françisation" (sic !) des termes par leurs auteurs respectifs.
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Messagepar syntax error » 24 Nov 2002 21:29

ce début de glossaire proposé par "l'homme au pistolet d'or" vous est soumis pour être complété et amélioré
il sera ensuite finalisé…


AIFF :

ASPI : Advanced SCSI Programming Interface, les ASPI servent à traduire les commandes SCSI des logiciels de gravure en commandes IDE compréhensibles par un graveur ou un lecteur de cd rom ou de dvd. Cette couche logicielle est donc indispensable pour dialoguer (donc lire ou graver) avec ce type de périphériques. Inventés à l'origine par Adaptec.

AWS :

Blue book :

Books :

Buffer :

Buffer underrun :

Burn proof :

BWA :

Byte :

Cactus Data Shield :

CD+G :

CD-DA :

CDR :

CDR 74 :

CDR 80 :

CD-ROM :

Crack :

D.A.E. : Digital Audio Extraction, c'est l'opération qui consiste à extraire numériquement le contenu d'un CD audio

D.A.O. :

DiscT@2 :

DPM :

D.V.D. :

E-IDE :

ECC : Error Correcting Code

EDC :

El torito :

Firmware : logiciel implanté sur votre matériel (graveur ou lecteur de cdrom ou de DVD) le plus souvent sur une mémoire flash réinscriptible (permettant les mises à jour) pour ajouter des fonctions nouvelles, corriger des erreurs ou permettre la reconnaissance de nouveaux médias. le firmware est toujours identifié par son nom ou numéro de version.

Form 1 : format de données en mode 2 : 2048 octets de datas, avec correction d'erreurs

Form 2 : format de données en mode 2 : 2324 octets de datas, pas d' ecc, utilisé pour l'audio/vidéo

Green book :

I.D.E. :

Image ISO 9660 :

I.S.O. :

ISRC :

Jitter :

Joliet :

Key2audio :

Macrovision :

Midbar :

Mount Rainier :

MP3 :

Mode 1 :

Mode 2 :

Mscdex :

Orange book :

Overclocking :

Overburning :

Patche :

Pit :

Photo CD :

RAW :

Red book :

S.A.C.D. : Super Audio Compact Disc, disque composé de deux sessions, la première au format audio Red book, la seconde au format DVD

SafeDisc :

S.C.S.I :

Securom :

T.A.O. :

UDF :

Ultra-DMA 33 : amélioration de l'E-IDE, débit de 33 Mo/seconde

Ultra-DMA 66 : amélioration de l'E-IDE, débit de 66 Mo/seconde

Ultra-DMA 100 : amélioration de l'E-IDE, débit de 100 Mo/seconde

Upgrade :

Wav :

White book :

Yellow book :
syntax error
 

Messagepar PIER » 24 Nov 2002 22:08

Merci à Scaramanga et syntax error pour leurs initiatives. Le but de ce post ou chacun peut participer, n'est autre que la collaboration afin qu'ensemble nous puissions mettre en place un lexique/glossaire sur la gravure.

Chacun peut donc proposer des définitions ou apporte une critique constructive sur une autre définition. Il ne s'agit pas ici de faire preuve d'exhaustivité, mais plutôt de proposer des définitions simples et accessibles. Bien sûr certains points pourront être approfondis dans des articles plus spécialisés.

Donc pour tout ceux qui désirent nous aider, à vos claviers... :wink:

Signalons toutefois qu'il n'est absolument pas question de reprendre le travail d'autres personnes, en se l'appropriant pas un simple copier/coller.
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Messagepar ManuKult » 30 Nov 2002 13:50

Moi j'aimerais bien aussi que quelqu'un fasse un screen du profiler de Clony...et qu'il renvoi grace a des numeros...une explication,definiton,comment s'en servir..a quel moment...etc...des options comme par exemple:

-ne pas reparer les données subchannels...
-recherche intelligente des secteurs defectueux
-etc...

Sur quel protection ces options sont-elles le mieux appoprié...

car je comprend pas encore tout et j'aimerais en savoir plus la dessus....
Voila........
Merci
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Messagepar gowap » 30 Nov 2002 15:03

Manukult, va sur mon site, menu copier un cd, débuter.
En bas de page, il y a les noms des protections. Clique sur les liens pour CloneCD3 (oui le 3 !!). Tu en apprendras un peu plus...
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Messagepar ManuKult » 30 Nov 2002 16:53

je vais voir...j'ai jamais connu CloneCD 3....
quand j'ai debuter c'etait le 4.....
je vais voir et je te dis ....
merci gowap
@+
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Messagepar ManuKult » 30 Nov 2002 17:09

ok good ,mais y en a toujours quelques un a que je sais pas a quoi ils servent :mrgreen:
je te les dis:

-Lecture des Subchannels Pistes audio(pour données c'est securom)
-régénérer secteurs
-lire uniquement la 1ere Session

-pour la recherche intelligente des secteurs defectueux....le saut de secteur...fo le mettre a combien.....

Sachant que la safedisk2 contient des secteurs faibles....ca fait quoi si l'on coche cette option.???

-La vitesse et l'extraction de l'audio......c'est suivant quoi??
-et enfin....ne pas reparer les données subchannels

merci a toi!!
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Messagepar gowap » 30 Nov 2002 23:53

astuce supplémentaire : lire le manuel de CloneCD et surtout, faire un clic droit sur les cases en questions pour lesquelles tu veux de l'aide.

la lecture des subs audio ne sert pour aucune protetion

le saut de secteur : ni trop, ni trop peu. Sinon tu risques d'en louper des pas défectueux. C'est pour laserlock et lockblocks.

Ne pas réparer sub : backup cd psx
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Messagepar alexnoe » 10 Déc 2002 23:13

ajoutez les genres des mots au glossaire, svp (le CD-R etc...) on ne les trouve pas dans un dictionaire :D
Modifié en dernier par alexnoe le 10 Déc 2002 23:16, modifié 1 fois.
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Messagepar PIER » 10 Déc 2002 23:15

Trés bonne idée en effet. :)
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Messagepar alexnoe » 11 Déc 2002 1:21

EDC : "error detection code". On le trouve par example aux CDs gravés en Mode 2 Form 2. Avec EDC, on peut reconnaître des erreurs, mais on ne peut pas les corriger.

White Book: Les spécifications des "Video-CDs"

Midbar: Les connards qui ont créé Cactus Data Shield
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Messagepar gowap » 11 Déc 2002 1:52

alexnoe a écrit:Midbar: Les connards qui ont créé Cactus Data Shield

Hey, ou as tu appris a parler comme ca ? :P :non:
Il faut etre politiquement correct et dire "nos amis les protectionnistes qui ont inventé ce merveilleux système de protection nommé Cactus Data Shield" :D
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Messagepar Numéro 6 » 11 Déc 2002 4:30

:lol: Les protectionnistes, ça fait Green Peace, ou WWF pour la sauvegarde des pandas, j'aime bien :lol:
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Messagepar ManuKult » 15 Déc 2002 22:43

je voudrais savoir si cette Bible des termes de gravure est toujours en cour de realisation...??? :(
car moi j'aimerais en savoir plus sur tous ça....

Savez vous si Gowap à commencé a réaliser sa page où il explique comment fonctionne les protections etc...??? :| :?:
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Messagepar PIER » 15 Déc 2002 22:51

Oui ce post est un outil de travail ou chacun peut soumettre des définitions, dés qu'il y en aura un peu plus nous ferons une première mise en forme.
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Messagepar gravurom » 01 Jan 2003 23:08

Bon pour ceux qui trouverez ça chiant, j'avoue, c'est chiant. C'est même
parfois pas du tout instructif. A regarder à titre informatif donc. :wink:

---------------------------------------------------------------------------------
A la volée
Enregistrement d'un CD à partir d'une lecture source d'un lecteur de CD-ROM, sans passer par une image sur le disque dur.

Amorçable
CD ( disquette, disque dur ou tout autre support de stockage ) à partir duquel un ordinateur peut être démarré ( amorcé ), parce qu'il contient le système d'exploitation nécessaire au fonctionnement de l'ordinateur.

ASPI
Abréviation de « Advanced SCSI Programmer's Interface ». Gère les communications entre les logiciels et les cartes SCSI.

Blocs de début de plage et de fin de plage
Ce sont des blocs de données enregistrés au début et à la fin de chaque plage ou de chaque piste.

CD amélioré
CD multissession comportant une série de plages audio dans une première session et une plage de données CD-ROM XA dans une seconde session. Des caractéristiques supplémentaires sont définies dans la norme Livre Bleu.

CD-DA (CD Audio)
Le CD-DA (Compact Disc - Digital Audio) est un disque contenant une ou plusieurs plages audio-numérique, dont la qualité sonore est équivalente à 44khz, 16 bits et stéréo. Bien qu'il n'y est pas de système de gestion de fichiers, le CD-DA puis s'avérer plus complexe qu'il n'en à l'air. Chaque séquence (chansons) est stockée sur une piste individuelle, et chaque piste sont divisées par des secteurs de 2352 octets. Chacun de ces secteurs contiennent 98 fenêtres de 24 octets, contenant principalement des échantillons stéréos codés en 16 bits. La qualité sonore est définie par la finesse de fréquence ; les plages audio-numériques d'un CD sont codés sous le mode 16 bits, 44Khz, et bien sur, en mode stéréo, ce qui correspond à un enregistrement d'échantillonnage de son de 44 000 fois par séquence. Chaque seconde de musique occupe alors 176400 octets sur le disque.Le CD Audio Text est un disque qui permet la lecture d'une séquence musicale tout en affichant des informations textes, comme le titre de l'album, le nom de l'artiste ou encore le nom de la chanson. Toujours démuni d'un système de gestion de fichiers, le CD-Text n'utilise pas une piste CD-ROM, comme certains pourraient le penser. En effet, les subcodes-channels R et W sont utilisés pour stocker les informations textuelles. Le CD-Audio Text ne peut pas être actif s'il s'agit d'un CD extra ou d'un CD+G.

CD Extra
CD multissession comportant une série de plages audio dans une première session et une plage de données CD-ROM XA dans une seconde session. Des caractéristiques supplémentaires sont définies dans la norme Livre Bleu. Alternative au mode mixte permettant de combiner des données audio CD-DA standard ( pouvant être lues avec un lecteur audio normal ) et une application informatique sur un seul CD.

CD+G
( également connu sous le nom de karaoké ) Format de CD spécial dans lequel des images et du texte simples sont stockés dans les sous-canaux d'un CD audio et qui nécessite un lecteur spécial pour lire et afficher ces informations.

CD-I
Format de compact disc mis au point par Philips pour autoriser l'exécution d'applications multimédia interactives sur un lecteur raccordé à une télévision. Les spécifications de la norme CD-I sont décrites dans le Livre Vert.

CD Photo
Format de CD conforme à la norme CD-ROM XA et aux spécifications de disque hybride du Livre Orange, utilisé pour l'archivage de clichés photographiques en vue de leur affichage ou leur impression.

CD-R
Abréviation de Compact Disc Recordable. Se dit également « CD enregistrable ». Désigne le CD vierge à écriture unique, par opposition au CD-RW (CD réinscriptible). Voir 

CD-ROM
Le CD-ROM (Compact Disc - Read Only Memory) est le média que vous achetez dans le marché, lorsque vous achetez des jeux vidéos ou des programmes informatiques. Il est décrit par le Livre Jaune, et son organisation de fichiers d'origine est le mode ISO9660, puis viendra ensuite d'autres formats plus souple comme le Joliet ou le HFS. Le CD-ROM peut se présenter sous deux modes de gravure, à savoir le Mode 1 ou le Mode 2. Le CD-ROM Mode 1 comprend des secteurs de 2048 octets, ainsi que des codes de corrections d'erreurs associés à chaque secteur, de 464 octets. L'ensemble secteur et code de correction occupe donc 2512 octets. Le Mode 2, lui, peut s'avérer contenir deux type d'organisation de secteurs, à savoir le FORM-1 qui correspond au Mode 1 et le FORM-2, qui correspond au Mode 2. Le FORM-2 contient 2324 octets, et les codes de correction ne sont plus utilisés. En résumé, l'on peut dire que les CD gravés en Mode 1 sont plus fiables que ceux gravés en Mode 2, mais l'avantage du Mode 2 est qu'il occupe moins d'espace par secteur car les codes de correction sont supprimés. Voir plus haut pour les modes d'organisation de secteurs.

CD-ROM XA
XA signifie Extended Architecture. CD-ROM XA est une extension de la norme Livre Jaune, généralement conforme au format logique ISO 9660, mais conçue pour améliorer les performances audio et vidéo (basé sur la norme CD-I) de ces CD-ROM de manière à faciliter leur utilisation comme supports de mémoire pour la diffusion d'applications multimédia. Le format CD-ROM XA a été abandonné en tant que format multimédia indépendant, mais les CD photo sont enregistrés au format physique CD-ROM XA.

CD-RW
Abréviation de Compact Disc ReWritable. Se dit également "CD réinscriptible". Support CD enregistrable sur lequel les données peuvent être effacées et réenregistrées. Les supports CD-RW ne peuvent être enregistrés que dans un graveur de CD-RW, et non dans un graveur de CD normal, bien qu'un graveur de CD-RW permette également d'enregistrer des disques CD-R standard.

CD Text
Format de CD audio qui permet l'inscription de 5000 caractères de données (titre, artiste, titres des chansons, etc.) dans la table des matières du CD. Ces informations s'affichent lorsque le CD est lu sur des lecteurs de CD Text.

CD vidéo
Norme pour l'affichage d'images animées associées à des données audio sur CD. Comprimées selon la norme MPEG 1, les données vidéo et audio sont enregistrées sur un disque Passerelle CD. Un CD vidéo comporte une plage de données enregistrée en mode 2, forme 2 au format CD-ROM XA. Il s'agit toujours de la première plage du CD en question (Plage 1). Cette page stocke la structure de fichier ISO 9660, un programme d'application CDI ainsi qu'une zone d'informations générales concernant le CD vidéo en question. Après cette plage de données, les sources vidéo sont enregistrées sur une ou plusieurs plages successives au sein d'une même session. Ces plages sont également enregistrées en mode 2, forme 2. La session est fermée dès que toutes les plages ont été enregistrées. 

Code de correction d'erreurs
Système de regroupement des données et d'enregistrement sur CD de données redondantes au cours du processus d'enregistrement. Lors de la lecture du CD concerné, ces informations redondantes permettent de détecter et de corriger les erreurs susceptibles de se produire au cours de la transmission des données. Ces codes de correction d'erreur se démontrent par la présence de deux zones distinctes dans l'organisation du secteur : zone ECC et zone EDC.

Code ISRC 
Le code ISRC est utilisé uniquement, vous allez rapidement le comprendre, par les duplicateurs industriels. Il contient des informations sur l'orgine du CD, le pays, certains dates, ainsi que le nom du détenteur du copyright du disque. Le MCN se rapproche finalement assez du code ISRC Ce subcode-channel contient également une information plus directe, destinée à la TOC, sur le fonctionnement du disque multisession.

Dessous de verre
Terme populaire désignant un CD enregistrable inutilisable, d'après l'objet rond du même nom sur lequel on pose son verre pour ne pas laisser de marque sur une table.

Disque enregistrable
Support utilisé dans le systèmes de CD enregistrables. Un CD vierge se compose d'une couche de polycarbonate dotée d'une piste en spiralée qui guide le laser lorsqu'il grave des informations sur le CD. Un film transparent de matériau inscriptible est appliqué sur la couche de polycarbonate. Cette couche est à son tour revêtue d'un film réfléchissant, couleur or ou argent. Enfin, une fine couche de vernis est appliquée sur le disque, dont la face extérieure reçoit parfois une étiquette imprimée. Le CD enregistrable standard est accessible en écriture une seule fois : les données qui y sont gravées ne peuvent pas être supprimées, bien qu'il soit possible d'ajouter des données lors d'une session ultérieure (voir Multisession). Pour les CD effaçables/réinscriptibles, voir CD-RW. Les données numériques qui sont contenues sur le disque compact sont stockées sous forme de cuvettes, creusés dans une couche photosensible de cyanine. La puissance du laser est d'alors environ 10 milliwatts.
Disque entier (Disc-at-Once)
Méthode d'enregistrement de CD qui prévoit l'enregistrement d'une ou plusieurs plages en une seule opération et l'interdiction du CD en écriture sans désactiver le module du laser d'enregistrement. S'oppose au mode Plage par plage (Track-at-Once). Cette fonctionnalité n'est pas prise en charge par tous les graveurs de CD, lorsque qu'il s'agit de la méthode d'enregistrement en mode RAW.

Disque mixte
CD qui inclut à la fois des données informatiques et des plages CD-DA. Toutes les données figurent sur la Plage 1 et la ou les plages suivantes contiennent les éléments audio. S'oppose à CD Extra.
DVD
DVD-ROM : Lorsque vous achèterez votre futur micro-ordinateur, il se peut que celui ci soit équipé d'office d'un bon lecteur de DVD-ROM, qui a largement tendance à remplacer les configurations avec un bon vieux lecteur de CD, qui peut toujours être remplacé par le graveur de CD. Quand au DVD de salon, celui ci n'a été commercialisé, il n'y a que deux ans de cela, et déjà l'on peut constater une vente considérable de lecteur et du média DVD-Vidéo. L'avantage du DVD, c'est qu'il peut très bien lire n'importe quel type de CD (selon le lecteur) ainsi, qu'évidemment les DVD. Vous n'aurez donc pas besoin d'insérer le CD dans le graveur ou encore de posséder en plus du lecteur de DVD, un lecteur de CD. Quand à la capacité du DVD-ROM, il est, comme vous pourrez le constater, sept fois supérieure à un CD. Vous pourrez y stocker environ 4.7 Go de données numériques dessus, et il ne s'agit là que d'un DVD avec un calque, autrement dit un média dit "simple face", car il existe des DVD de 4.7 Go sur une face et l'autre de de 4 Go. En capacité totale, on obtient donc 8.5 Go de données ! Comment cela est il rendu possible lorsque l'on sait que le média est physiquement le même que le CD ? C'est en examinant le nouveau laser que l'on va comprendre. En effet, il est beaucoup plus précis que son prédécesseur, de l'ordre de 650 µm par rapport au CD de 780 µm. Avec ce nouveau laser, il devient possible de modifier la largeur des bits gravés, qui sont, eux aussi, plus petits moins larges que sur le CD (0.4 µm contre 0.83 µm pour le CD). Enfin, l'électronique du lecteur a été remaniée, avec un nouveau système de correction d'erreur le Reed Solomon Product Code, plus performant que celui des CD.
DVD-VIDEO : Le DVD tel que nous l'avons vu paraître est donc son format vidéo. On ne peut pas véritablement parler des données vidéo-numérique comme l'on pourrait parler de données audio-numérique pour un CD. Le DVD vidéo contient en fait un fichier vidéo comprimé en MPEG, en général il s'agit d'un MPEG2. Rien de bien sensationnel jusqu'ici, car un super vidéo CD, peut lui aussi contenir un fichier de ce type selon la norme du Livre Blanc 2.0. La nouveauté, ce que le DVD est capable de stocker beaucoup plus qu'un CD, et donc contenir environ deux heures (selon la qualité du fichier vidéo) de vidéo, donc, dans la plupart des cas, un film entier. L'avantage du DVD, ce qu'il utilise le mode sonore Dolby Digital 5.1, qui permet de jouer cinq séquences sonores en qualité comprimé MPEG-Layer 3 sur cinq enceintes différentes. Ce mode a été conçu pour imiter au maximum le son obtenu dans une salle de cinéma : le haut parleur central vous donnera les voies, les deux enceintes complètes (Grave, Medium et Aigu), le caisson de grave en option et enfin les aigus en arrière. Les DVD vidéo s'adaptent à deux résolutions à savoir le 16/9, avec les deux bandes noires, et le format classique de télévision, appelé aussi full screen (pour plein écran) le 4/3. Le DVD vidéo possèdent le système d'organisation de fichiers UDF.
DVD-enregistrable :
Tout comme le CD, le DVD possède son penchant réinscriptible. Et tout comme le premier graveur de CD, celui du DVD dépasse encore de trop le prix espéré, bien qu'il a tendance a relativement baisser : aujourd'hui, on peut avoir un graveur de DVD à 3000 francs environ. Au début, la confusion règne avec plusieurs type de DVD enregistrable, à savoir le DVD-R, DVD-RAM et le DVD-RW. Les concepteurs conçoivent les premiers disques enregistrables de manière à ce que nous, utilisateur, ne puissions copier les DVD vidéo du marché. Cette théorie va être finalement abandonnée avec l'apparition de vrai graveur et de vrai disque enregistrable, à cause de délestage de ce média. En effet, les utilisateurs, et encore aujourd'hui, préfère créer une copie de sauvegarde d'un DVD sur un CD, par le procédé de l'encodage audio-vidéo MPEG4 que dont tout le monde a entendu parler, j'ai nommé le DivX. Viens s'ajouter à cela un autres type de DVD enregistrable, le DVD+RW. Alors, pour paraître plus clair à vous lecteur, je vais vous résumer tout cela :Le DVD-R, simple DVD enregistrable disponible en plusieurs capacités de stockage, variant donc de 3.9 Go de données à 4.7 Go. L'enregistrement des ces disques se fait grâce au calque du CD, qui est détruit pour former les données binaires et elle est séquentielle, autrement dit semblable à celle par flux des graveurs de CD.Le DVD-RW, le format réinscriptible du DVD-R. Celui ci est lisible sur n'importe quel lecteur de DVD. C'est donc pour ce type de disque qu'il vous faudra opter si vous souhaitez sauvegarder des données temporairement sur DVD.Le DVD+RW n'est pas lisible sur un lecteur classique de DVD. Ce standard intitulé ECMA-274 peut contenir 3 Go de données, comparé au DVD-RW, de 4.7 Go, le choix est vite fait.Le DVD-RAM, enfin, dont les capacités techniques ressemblent à deux gouttes d'eau au CD-Magnétoptique, sera muni d'un layer de 2.6 Go de données. L'on peut penser qu'il s'agit encore ici d'un disque dont la capacité est moins grande qu'un CD industriel, ce qui rend alors impossible la copie de CD.
Enregistrement par paquets
Méthode d'enregistrement des données sur CD par petits incréments (par opposition à l'enregistrement Plage par plage et à l'enregistrement Disque entier). Les paquets peuvent être de longueur fixe ou variable. Le logiciel DirectCD d'Adaptec prend en charge l'enregistrement par paquets.

En-tête
Il s'agit des 4 octets enregistrés au début de chaque secteur pour en indiquer l'adresse (sous forme de numéro de bloc logique) et le mode d'enregistrement.

Extraction audionumérique
Processus de copie numérique de plages audio CD-DA à partir d'un lecteur de CD-R ou de CD-ROM sur un disque dur ou un CD enregistrable. Cette fonctionnalité n'est pas prise en charge par tous les lecteurs de CD-ROM, mais l'est par la plupart des graveurs de CD.

Fermeture d'une session
Lorsqu'une session est fermée, les informations relatives à son contenu sont enregistrées dans la table des matières du CD et une zone de début et une zone de fin sont enregistrées pour préparer le CD à l'enregistrement de la ou des sessions suivantes.

Format High Sierra
Format logique standard pour CD-ROM proposé à l'origine par le groupe High Sierra et sur lequel est basée la norme ISO 9660 ; pratiquement identique à la norme ISO 9660, ce format n'est plus utilisé.

Format ISO 9660
Norme internationale la plus courante pour le format logique des fichiers et répertoires d'un CD-ROM. Certains autres formats logiques répandus tels que Joliet et Rock Ridge sont des extensions du format ISO 9660.

Format logique / Structure logique / Système de fichiers 
Système de fichiers, tel que ISO 9660, qui traduit l'organisation secteur par secteur d'un CD en une « arborescence » virtuelle de répertoires et de fichiers, permettant ainsi aux utilisateurs et aux ordinateurs d'utiliser plus facilement les informations du CD. UDF est un autre exemple de système de fichiers qui permet d'écrire des CD.

Format physique
Le format physique d'un CD détermine la manière dont les données sont enregistrées dans chaque secteur. Les différents formats physiques sont définis par des normes identifiées par une couleur (telles que le Livre Rouge, le Livre Jaune, etc).
Glass Master
Le Glass Master est le moyen de duplication industriel par excellence. Son procédé est d'ailleurs proche de celui des logiciels de gravure actuels, pour le moins en ce qui concerne la première phase de l'opération. La première phase consiste donc a créer une image ISO du contenu d'un média de masse, tel un disque dur ou un CD. Celle ci contiendra donc, comme l'indique sa norme, la piste de données ainsi que les différents codes de corrections des secteurs, l'arborescence etc. La seconde phase traduit la gravure sur une plaque de verre (le Glass Master) extrêmement mince du contenu de l'image ISO, à laquelle sera ajoutée une fine couche de métal. Au final, et après pressage, nous obtiendrons un CD dit industriel, auquel on pourra y rajouter, au choix, telle ou telle étiquette.En ce qui concerne la duplication industrielle, sachez qu'il n'existe que ce procédé pour dupliquer des disques aujourd'hui. Certaines entreprises, comme Sony, produisent elle même leur disque enfin de créer des disques impossible à reproduire parfaitement (comme les disques PSX qui ont besoin d'un ModChip pour les faire fonctionner).

HFS
Ce format, qui signifie Hierarchical File System, n'est généralement (et logiquement) utilisé que par et pour les possesseurs d'ordinateur Macintosh. Vous pouvez sans problème graver avec ce format sous Windows, mais sachez dès lors que votre disque n'est lisible que sur un Macintosh ! Aucun avantage apparent mise à part l'excellente conservation des icônes graphique, ma foi, très accueillantes.

Hybride
Selon la norme Livre Orange pour les CD enregistrables, un CD hybride est un CD enregistrable sur lequel une ou plusieurs sessions ont déjà été enregistrées, mais non fermées, et qui présente donc de l'espace ouvert pour des enregistrements futurs.

Image ISO
Fichier de grande taille qui constitue la représentation exacte (contenu et format logique) de l'ensemble des données et des programmes tels qu'ils apparaîtront sur le CD. Il peut s'agir d'une image ISO 9660 (strictement conforme à la norme ISO 9660) ou d'un format propriétaire.Index
Les index offrent des points de départ supplémentaires sur une seule plage audio. Les index ne sont pas pris en charge par tous les lecteurs de CD audio. Les marqueurs d'index sont inscrits dans le sous-canal Q et sont incrémentés séquentiellement d'une unité au cours de l'enregistrement de la plage.

Interdiction d'un disque en écriture
« Fermeture » d'un disque enregistrable de manière à ce qu'aucune donnée supplémentaire ne puisse y être enregistrée. Cette opération est réalisée lorsque la zone de début de la dernière session est enregistrée. L'adresse de gravure suivante sur le CD n'est pas enregistrée dans cette zone, de sorte que, lors des tentatives d'écriture suivantes, le graveur de CD est incapable de déterminer l'endroit où il doit commencer à écrire. Remarque : il n'est PAS nécessaire d'interdire un CD en écriture pour le lire dans un lecteur de CD-ROM normal.

ISO9660
L'ISO 9660 est le premier format qui a existé : il a été adapté selon les normes du Livre Jaune, de Sony et Philips. Les caractères des fichiers qui seront organisés dans ce format seront limités à huit caractères (sans compter le nom de l'extension et le point) ainsi que la profondeur (nombre de dossier dans d'autres dossiers) limitée, elle aussi, à 8 sous dossiers. Ce format est parfois nommé "High Sierra".

Jaquette
Euh... petit dessin joli sur une feuille que l'on place dans un boîtier de CD. Ouais...

Joliet
Le Joliet est la norme standard de Microsoft, beaucoup plus souple que l'ISO 9660 ; en effet, celui ci supporte 256 caractères de noms de fichiers ou de dossiers. Il est exploitable par les anciens systèmes, tels MS-DOS, qui réduira automatiquement le nom du dossier ou du fichier si celui ci dépasse les 8 caractères. En général, il réduit le texte par ce symbole "~". (ex : nhtgra~1.exe au lieu de nhtgravurecd.exe

Lecteur de CD-ROM
Périphérique connecté à un ordinateur qui permet de lire/jouer des CD-ROM. Tous les lecteurs de CD-ROM permettent également d'écouter des CD audio, mais vous avez besoin d'un casque ou des haut-parleurs externes pour les écouter.
Lecture (fonctionnement)
Pour lire un CD, le graveur génère un faisceau laser dont la puissance est équivalente à 0.8 milliwatt. Celui ci balaye la surface du disque pour enfin atteindre la couche de cyanine qui compose de le disque. C'est sur cette couche de cyanine que sont enregistrées les données, sous forme de cuvettes en direction d'un photo-détecteur. Le faisceau laser est plus ou moins réfléchi en fonction de la présence ou l'absence des ces cuvettes. Si une cuvette est présente, le laser n'est pas réfléchi et celui ci génère une charge électrique qui correspond à la présence de données. Cette charge électrique est traduite par l'électronique du graveur sous la forme binaire 1. Si la cuvette est absente, il s'agit d'une zone plane, le laser est réfléchi est cela est traduit par le graveur sous la forme binaire 0. Le décodage de ce signal binaire est traduit ensuite par le microprocesseur par les informations utilisateurs qui sont stockées sur le disque.
Livre Blanc
Ce livre s'occupe de la description des CD Vidéo. Ils sont en fait très semblable aux normes du livre vert, excepté que ce type de disque (CD-Vidéo en non pas CD-I) peut être lu sur un PC, et sur tous les lecteurs de salon de DVD, qui sont compatibles avec ce format. Il contient, comme le CD-I, un piste d'organisation des fichiers, en ISO9660 seulement, et l'autre contenant de la vidéo au format MPEG1, est une piste gravée en MODE2 XA. Le ou les fichiers MPEG qui composent la piste vidéo, doivent être conforme aux normes définies dans ce livre, à savoir un taux de transfert vidéo de 1MB par seconde, et de 224KB pour l'audio. Ce type de fichier permet de stocker environ 70 minutes de données images, en donnant une qualité VHS, cassette. Il en va de même pour l'audio, mais là, la différence est moindre : si l'on ne vous dit pas qu'il s'agit d'un format audio comprimé, vous ne le saurez pas !Version modifiée : Le White Book 2.0, avec l'apparition du Super CD-Vidéo. Celui ci contient exactement les mêmes données gravées dans la piste ISO, mais la piste vidéo contient un nouveau format le MPEG2. Celui ci permet de créer un taux de transfert deux fois plus grand par rapport au CD-Vidéo, ce qui rapproche énormément de la qualité DVD. (A NOTER : Certains DVD, notamment les anciens, adopte ce type de fichiers. La plupart des récents sont maintenant en MPEG4.) Le problème du fichier MPEG2, c'est qu'il prend deux fois plus de place sur le disque : donc 35 minutes de vidéo et le CD est plein !
Livre Bleu
Ce livre décrit le CD-Extra, qui n'est, encore une fois, pas à confondre avec le CD mixte. Il possède une ou plusieurs plages audio-numériques conformes à la norme du Livre rouge, puis une piste de données supplémentaires, au format d'organisation ISO9660 ou Joliet. La piste de données contient des textes, des images, des fichiers sons ou encore des clips vidéo. (et non pas des pistes vidéo, lisible sur lecteur de DVD !). Cette dernière piste est utilisée pour lire le CD sur un lecteur compatible, tel un lecteur de salon qui peut afficher ces informations ou encore nos chers PC multimédia. Le CD-Extra est utilisé aujourd'hui par certains artistes musicaux, qui intègrent à leur album des séquences vidéos ou encore des images. Le CD-Extra est donc tout d'abord un CD-Audio, ce qui le différencie d'un CD-Mixte, qui lui, est privilégié pour les données numériques. Vous verrez sans doute la différence lorsque vous insérez un CD-Extra et un CD-Mixte dans un baladeur. Le CD-Extra sera tout de suite reconnu comme CD-Audio, tandis que le CD-Mixte mettra plus de temps, voire ne sera pas reconnu du tout !
Livre Jaune
C'est le deuxième livre qui est officiellement apparu. Celui ci décrit que des données audio-numériques peuvent devenir des données numériques, à l'aide de l'insertion d'un système de gestion de fichiers : la tables des matières. Ce livre décrit des pistes nommée MODE1, qui contienne chacune plusieurs secteurs ; ces secteurs contiennent 2048 octets de données et 464 octets de code de correction d'erreurs. Ces 464 octets sont présents pour vérifier les données écrites dans le secteurs qu'ils vérifient. Chaque secteurs "pèse" donc 2152 octets. Cette norme se prête, contrairement au livre, à un système d'organisation de fichiers, qui peut s'avérer être ISO9660 ou Joliet. Les données peuvent être gravées en deux modes différents : le MODE1, qui contiendra tout d'abord les codes de correction d'erreurs et qui va être délaissé grâce au MODE2 : la correction d'erreur a disparue, l'on économise donc de la place sur le CD. (INFO : Le mode 1 était utilisé autrefois dans le but de certifier la validité des secteurs ; aujourd'hui la plupart des lecteurs récents n'ont plus besoin de cette correction. Des logiciels vous propose néanmoins toujours le MODE d'écriture 1, pour certifie qu'il soit compatible avec les anciens lecteurs de CD). Version modifiée XA : Comme le livre rouge, le livre jaune a subi, au fil du temps, une petite révision. Ainsi est donc née la norme XA. Celle ci définit un mode d'écriture nouveau, qui peut entre autre se passer de la correction d'erreurs, et qui donc résulte à de la place économisée. C'est donc le MODE2. De plus, la piste informatique peut être multisession, c'est à dire graver des données un jour, laisser le disque "ouvert en écriture" puis le lendemain graver d'autres données.
Livre Orange
C'est le livre par excellence : il nous permet, à nous pauvres consommateurs, de pouvoir afin créer des applications, des compilations ou encore de sauvegarder notre investissement par le biais d'une copie. Ainsi né donc le CD-R (Compact Disc Recordable), le CD-MO (Compact Disc Magnéto Optique), le CD-WO (Compact Disc Write Only) et surtout et enfin le disque réinscriptible, le CD-RW (Compact Disc Rewritable). Ce dernier permet d'écrire des données numériques ou audio numérique, qui peuvent être effacées ou remplacées par d'autres données ; tout d'abord onéreux (environ 150 francs l'unité), ce type de disque se trouve aujourd'hui, dans les grandes surfaces, à quelques euros, et encore.

Livre Rouge
C'est donc le premier livre ; il a été conçu afin de définir l'évolution entre les anciens disques vinyles, et l'utilisation du laser pour la qualité numérique. Ce livre ne possède pas de sujet sur le système d'organisation de fichiers, et définie qu'un CD-DA (Compact Disc - Digital Audio) peut contenir jusqu'à 99 plages, chacune de celles ci doit au moins durer 4 secondes et contenir une séquence sonore (qu'elle soit audible ou non). Enfin, la lecture d'une plage se déroule à 176 Ko/s, l'on comprend pourquoi les disques audio sont si gros.Version modifiée : Arrive donc un peu plus tard, une version modifiée du Livre Rouge ; celle ci définie qu'un lecteur de salon compatible peut afficher des textes, comme les noms de plages ou de l'artiste en question durant la lecture. Aujourd'hui, avec les logiciels actuels, vous avez la possibilité d'accéder à ces fonctions, c'est à dire de créer vous même votre propre "CD-Text". Il faut pour cela que votre graveur supporte cette fonction, c'est à dire de pouvoir graver ces textes dans les subcodes-channels R et W.
Livre Vert
Voila une norme méconnue, et plus du tout utilisée à cause d'une anecdote de notre ami Philips, qui a abandonné le projet peu après son lancement. Le but était d'insérer sur le marché un nouveau format de disque, le CD-I, un CD multimédia qui contient de la vidéo comprimée en MPEG, mais qui est lisible seulement sur le lecteur de salon...Philips. Ce type de disque contient donc deux pistes, l'une pour l'organisation des fichiers, en ISO9660 seulement, et l'autre contenant de la vidéo au format MPEG1, est une piste gravée en MODE2 XA. Ce type de disque n'est aujourd'hui, il n'est pas à confondre avec le CD-Vidéo, ce qui n'est pas pareil !

Matriçage
Processus de création d'une matrice en verre permettant la reproduction industrielle de CD. Sur les systèmes de bureau, le graveur de CD se charge aussi bien du matriçage que du pré matriçage. Le terme matriçage désigne la gravure de CD en général.

Micro logiciel
Dans le domaine des CD enregistrables, instructions mémorisées dans une puce de mémoire morte (ROM) installée dans le graveur et servant d'interface pour l'interprétation correcte des commandes qui lui sont transmises par le logiciel. Si le graveur est équipé d'une puce Flash, la mise à jour du micro logiciel est possible par téléchargement au moyen d'un petit programme lancé à partir de l'ordinateur auquel est connecté le graveur. Dans le cas contraire, la mise à niveau du micro logiciel est obtenue par remplacement de la puce de mémoire morte.

MMC
Jeu de commandes standard utilisé par les graveurs de CD. De nombreux graveurs récents sont conformes à cette norme, bien que beaucoup d'entre eux l'interprètent différemment (des différences subsistent donc encore entre la manière dont les logiciels doivent s'adresser à ces graveurs, en dépit de la norme).
MMC-DAO-RAW+96
Mode de gravure permettant d'inscrire des données brutes sur la piste logicielle du disque, ainsi que les subcodes-channels et la TOC invalide.

Mode 1
Le Mode 1 FORM-1 : Utilisé dans la conception des disques anciens, c'est le premier format d'organisation de secteur dans le domaine du stockage numérique. La zone utilisateur d'un secteur occupe 2048 octets de données, et chacun de de ces secteurs est associé à un code de correction d'erreur du secteur. Ce code de correction d'erreur occupe 464 octets de données, ce qui en résulte que les secteurs occupent 2512 octets de données. Ce mode d'organisation n'est plus utilisé aujourd'hui.Le Mode 1 : Utilisé dans la conception des disques actuel, c'est le mode qui est utilisé par les jeux PC ou les programmes informatiques stockés sur les CD-ROM. La zone utilisateur d'un secteur occupe toujours 2048 octets, et d'autre zone spécifique sont ajoutées. 12 octets de synchronisation, 4 octets d'en tête, 4 octets dans la zone EDC, 8 octets inutilisés et 276 octets ECC. Si l'on additionne le tout, l'on obtient 2352 octets.

Mode 2
Le Mode 2 FORM-1 : Ce mode d'organisation de secteur reprend les données du Mode 1. Il permet d'associer, je dirais, le Mode 1 ou Mode 2, mais chacun de ces modes d'organisation de secteurs doivent être séparés et présent sur une piste individuelle.Le Mode 2 FORM-2 : Ce mode d'organisation de secteur contient 2324 octets de données, et il n'est associé à aucun protocole de correction d'erreurs. Ce mode d'organisation de secteur est théoriquement prévu pour contenir des données audio-vidéo.MP3
MPEG-Layer III. Méthode de compression des données audio.

MPEG
Abréviation de Motion Picture Experts Group (groupe d'experts en images animées), organisme de normalisation responsable des normes MPEG 1 et MPEG 2 pour la compression de la vidéo animée.

MultiRead
Norme OSTA (Optical Storage Technology Association) pour les lecteurs de CD-ROM et de DVD-ROM. Les lecteurs conformes à la norme MultiRead peuvent lire des CD commerciaux (audio et données), des disques CD-R et des disques CD-RW. Ils permettent également de lire des CD composés de paquets de longueur fixe ou variable. Remarque : Les lecteurs comportant le logo MultiRead ont été testés en vue de leur conformité à la spécification MultiRead. Les lecteurs comportant la mention MultiRead (sans le logo) n'ont probablement pas été testés en vue de leur conformité à la spécification et ne sont peut-être pas en mesure de lire des CD-RW ou des CD composés de paquets.

Multisession
Méthode qui consiste à ajouter des données de manière progressive sur un CD, en plusieurs sessions d'enregistrement. Si les données sont liées d'une session à une autre, toutes les données du CD multisession peuvent être considérées comme appartenant à une structure logique unique lors de leur lecture sur un lecteur de CD-ROM multisession. La méthode de multisession est très différente de la méthode d'enregistrement par paquets.

Notification d'insertion automatique
Fonctionnalité des systèmes d'exploitation Windows qui permet le déclenchement automatique de la lecture d'un CD audio ou d'un programme (pour certains CD) dès l'insertion du CD dans le lecteur. Avec les logiciels de CD-R antérieurs, il était recommandé de désactiver cette fonction, mais avec Easy CD Creator, il est préférable de la laisser activée. Ce paramètre doit être défini séparément pour chaque unité de CD ; dans Windows 95, il peut être défini dans Panneau de configuration | Système | Gestionnaire de périphériques | CD-ROM | [votre lecteur de CD-ROM] | Paramètres.

Plage
Chaque fois que vous enregistrez des données sur un CD, vous créez au moins une plage, précédée d'un espace. Une session peut contenir une ou plusieurs plages, et les plages au sein d'une session peuvent être du même type ou de types différents (par exemple, un CD mixte contient des données et des plages audio).

Plage par plage (Track-at-once)
Méthode d'enregistrement des données sur un CD. Chaque fois qu'une plage (de données ou audio) est terminée, le module d'enregistrement laser est désactivé, même si une autre plage doit être gravée immédiatement après. Les blocs liés et les blocs de fin et de début de plage sont gravés lorsque le laser est activé et désactivé.

Rock Ridge
Extension du système de fichiers ISO 9660, conçue pour prendre en charge les informations du système de fichiers UNIX (par exemple, noms de fichier plus longs et arborescences de répertoire plus complètes).
Roméo
Cette norme, qui a suivit la Joliet, ne la complète pas complètement, et n'est généralement disponible sur les logiciels de gravure traditionnels, genre Nero ou Easy CD Creator. En fait, elle n'est que vraiment très peu utilisée ; elle permet, comme la Joliet, d'écrire plus de données textes pour les noms de fichiers (128 caractères sous windows) mais son point fort demeure qu'elle soit lisible par les Macintosh. (si les noms ne dépassent pas un certain nombre de lettres !). De plus, il faut un patch de mise à jour de système pour lire les informations si ne l'on peut pas lire tout de suite : bref, passons, y'a rien à voir !

SCSI
Abréviation de Small Computer System Interface (prononcer « skeuzi »). Interface permettant la connexion de sept périphériques à un contrôleur unique.

Secteur
Plus petite unité inscriptible d'un CD. Un CD peut contenir [(75 secteurs par seconde) x (60 secondes par minute) x (nombre de minutes d'un CD)] secteurs. La quantité de données que contient un secteur dépend de son format physique et de son mode d'enregistrement. Sur les CD-ROM classiques, un secteur est capable de stocker 2 048 octets (2 Ko) de données.

Session
Selon la définition du Livre Orange, segment enregistré d'un CD pouvant contenir une ou plusieurs plages de type quelconque (données ou audio). Dans le cas de l'enregistrement de données, il y a généralement une seule plage par session. Dans le cas de l'enregistrement d'un CD audio, toutes les plages audio figurent dans une seule session. Une zone de début de plage et une zone de fin de plage sont enregistrées sur le CD pour chaque session.

Session entière
Sous-ensemble de Disque entier, utilisé pour les CD Extra. Lors d'un enregistrement Session entière, une première session contenant plusieurs plages audio est enregistrée en une seule passe, puis le laser est désactivé, mais le CD n'est pas interdit en écriture. Ensuite, une deuxième session (de données) est gravée et fermée.

Sous-alimentation de la mémoire tampon (ou tampon vide)
On parle de sous-alimentation de la mémoire tampon lorsque l'ordinateur ne parvient plus à maintenir le flux constant nécessaire pour l'enregistrement d'un CD. Le graveur de CD présente une mémoire interne qui offre une protection contre les interruptions et les ralentissements, mais si l'interruption est à ce point longue que le tampon du graveur se vide complètement, une sous-alimentation du tampon se produit, le processus de gravure est interrompu et, très souvent, le CD enregistrable est inutilisable.

Subcodes-Channels (sous canneaux)
Ce sont des zones de stockage non accessible par l'explorateur Windows, qui peuvent contenir des sons, des textes ou des données. Un CD est composé de 8 subcodes-channels (P,Q,R,S,T,U,V,W) et chaque canal peut contenir environ 4 Mo de données. Lors de la gravure d'un CD, vous ne le savez probablement pas mais ces petites mémoires additionnelles sont utilisées pour les informations décrites ci dessous. Une technique de protection très efficace a été employée par des concepteurs pour permettre d'enrayer le phénomène de la copie de CD. Insérer des données dans un subcode-channel qui seront vérifiées par un programme anti-copie liés à l'exécutable du programme principal. Système ingénieux car les logiciels de gravure de l'époque et même les graveurs eux mêmes ne se préoccupaient pas des données dans les subcodes-channels. Seule la piste de données étaient copiés, et les subcodes-channels étaient régénérés. Quand au lecteur de CD-ROM, aussi ancien qu'il puisse être, peut avoir accès à ces subcodes-channels et en lire les informations. Cette protection fut donc inviolable un certain temps, ce qui poussa les producteurs de graveurs et de logiciels, pour une raison qui m'échappe encore, à créer des graveurs qui puissent graver les mêmes subcodes-channels contenus sur un autre disque, et des logiciels capables d'extraire et d'ordonner au graveur d'inscrire les subcodes-channels. (Ceci, si le graveur en est capable). Ce type d'extraction/gravure est appelée mode RAW, mais l'extraction/la gravure des subcodes-channels n'est qu'une partie de la fonction RAW. Faisons maintenant un détail sur les différents subcodes-channels : Le subcode-channel P : Le canal P est très peu utilisé, en fait plutôt réservé aux enregistreurs de CD JVC. L'on peut tout de même y insérer des petits programmes qui peut se révéler être une protection anti-copie.Le subcode-channel Q : Ce subcode-channel contient des informations très importantes. Les données qui seront principalement utilisées dans ce subcode-channel est l'indicateur de position, qui peut se traduire par l'affichage de la durée écoulée sur un disque audio, ou encore le numéro de la plage qui est en cours de lecture. Cette zone est exploitée lors de l'utilisation de le mode de gravure Disk-At-Once. Il contient également mais dans una autre zone un Media Catalog Number, qui correspond à un numéro référentiel des enregistrements, et le fameux code ISRC (International Standard Recording Code pour Code Standard d'Enregistrement International). Le code ISRC est utilisé uniquement, vous allez rapidement le comprendre, par les duplicateurs industriels. Il contient des informations sur l'orgine du CD, le pays, certains dates, ainsi que le nom du détenteur du copyright du disque. Le MCN se rapproche finalement assez du code ISRC Ce subcode-channel contient également une information plus directe, destinée à la TOC, sur le fonctionnement du disque multisession.Les subcodes-channel R et W : Ces subcodes-channels contiennent des informations sur le nom des plages audio-numériques ou permet également d'afficher des images. Ce type de CD exploitant ces subcodes-channels sont, par exemple, le CD+G, appelés autrement CD Karaoké. Ces subcodes-channels sont maintenant exploités pour créer des systèmes anti-copies.Les autres subcodes-channels sont de toute manière inusité, et la plupart des lecteurs, même récent, n'ont pas accès à ces fameux subcodes-channels.
Suppression aléatoire
(disponible avec les disques CD-RW et DirectCD). Possibilité de supprimer un fichier à la fois sur un disque CD-RW et de libérer ainsi de l'espace sur le CD en vue de le réutiliser immédiatement, comme sur un disque dur ou une disquette.

Suppression séquentielle
(disponible avec les disques CD-RW). Effacement du CD entier en vue de sa réutilisation.

Système de fichiers
Structure de données permettant de traduire l'organisation physique (en secteurs) d'un CD en une structure logique (fichiers et répertoires), qui facilite la localisation des fichiers tant aux ordinateurs qu'à leurs utilisateurs. En d'autres termes, cette arborescence indique l'endroit où les fichiers et les répertoires se trouvent sur le CD. Voir aussi Format logique.

Table des matières
La table des matières -ou TOC pour Table Of Contents- est la strate la plus importante, c'est à dire l'une des parties la plus importante du CD. Elle contient tout ce que le lecteur doit interpréter, et ce qu'il doit analyser. La TOC contient entre autres le nombre de session sur le disque, leur emplacement de départ, le nombre de pistes total, le temps et la place qu'occupe les données en Mo, secondes, ou secteurs etc. Lorsque vous copiez un fichier sur le disque dur à partir d'un copier-coller, le lecteur affiche le poids du fichier, c'est à dire place qu'il occupe sur le CD. Ce genre de données est contenu dans la TOC. Elle peut définir jusqu'à 99 pistes, leur emplacement de départ etc., et peut tout à fait débuter l'analyse par une piste qui ne sera pas forcément la piste première. Certains concepteurs ont pensé tout d'abord à manipuler cette TOC afin de rendre les disques plus difficiles à copier. L'astuce est simple : rendre un fichier incopiable par un procédé de copier-coller ou par une compilation de fichiers en le rendant cent fois ou mille fois plus gros (en taille bien sur). Par exemple, un fichier exécutable occupe 2.56 Mo sur le CD. L'on peut manipuler la TOC du CD pour multiplier cette taille, voire lui attribuer une taille monstrueuse, genre 4 Go. Ainsi il devient impossible de le compiler ou de le copier sur un CD-R. Cette protection a été néanmoins rapidement inefficace à cause des fonctions de "Copie de CD" des logiciels de gravure. La table des matières regroupe ces informations : 1. Une information de type : Cette information permet rapidement et simplement de procéder à l'identification du disque. Il est définit dans ces informations le type de disque, le mode d'organisation du secteur (MODE1 ou MODE2). Cette information peut variée au fil du temps. La preuve, à l'origine le MODE1 FORM-1 contenait une organisation de secteur de 2512 octets, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. Le MODE1 n'est plus sous le format FORM-1, mais il est appelé tout simplement MODE1 et l'organisation du secteur est alors de 2352 octets. 2. Une information de départ : Chaque piste est répertoriée dans cette information, et chacune d'entre elles disposent d'emplacements de départ de lecture. Ces emplacements de lecture sont exprimées en minutes, en secondes et en secteurs. 3. Une information LBA : Cette information est répertoriée dans la TOC sous la forme d'un chiffre, qui donne l'emplacement de départ du premier secteur logique. 4. Une information Copyright : Cette information n'est absolument pas respectée par les logiciels de gravure. Nero vous l'indique néanmoins. Elle aurait du permettre d'interdire, par déposition de copyright sur le contenu voulu, la copie numérique d'un contenu. Inefficace et contourner par tous les logiciels de gravure. 5. Une information ISRC : Cette information est directement liée au subcode-channel Q, car c'est en fait lui qui contient les informations sur les codes ISRC. Voir plus bas pour le détail sur le code ISRC.Tampon
Quantité de mémoire qui stocke temporairement des données pour compenser les écarts éventuels entre les vitesses de transfert des données d'un périphérique à un autre. Dans le cas des graveurs de CD, le tampon contribue à prévenir les problèmes de sous-alimentation de la mémoire tampon.

Temps absolu
Pour les CD audio, temps écoulé depuis le début du CD. Cette valeur peut être utilisée pour déterminer le début et la fin des segments sonores en vue de la programmation d'une application sur un CD mixte, à partir du début de la zone de données (y compris les données informatiques de la plage 1).

Tiroir
Sur certains types de lecteurs de CD-ROM et de graveurs de CD, dispositif en plastique et métal sur lequel le CD doit être placé avant d'être chargé (d'autres lecteurs et graveurs n'ont pas besoin d'un tiroir, car ils présentent un chariot intégré qui permet de placer directement le CD). 

UDF (Universal Disc Format)    Système de fichiers approuvé par l'association OSTA (Optical Storage Technology Association) et destiné à être utilisé avec l'enregistrement par paquets et d'autres technologies de disque optique inscriptible, telles que le format DVD.

UPC
Universal Product Code (Code produit universel). Avec certains types de graveurs de CD, vous avez la possibilité de définir un numéro de catalogue UPC à 13 chiffres pour le CD entier, qui peut être enregistré dans la table des matières du CD. Également connu sous le nom de EAN.Volume
Conformément à la norme ISO 9660, disque CD-ROM unique. Toutefois, le terme « volume » est souvent utilisé pour désigner une session sur un CD multisession qui n'est pas lié à d'autres sessions.

Zone de secteur
Il existent plusieurs zones de secteurs : 12 octets de synchronisation, 4 octets d'en tête, 4 octets dans la zone EDC, 8 octets inutilisés et 276 octets ECC. Ce qui nous donne 5 zones différentes de secteurs, cela uniquement valable en mode1.
gravurom
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Messagepar PIER » 01 Jan 2003 23:14

gravurom -> Qué paso ? Pourquoi est-ce que ton post est en double ?
Abréviations et style SMS sont à proscrire, merci de faire des phrases !
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