le seul hic mes amis, c'est que "l'industrie du (commerce du) disque" en France est très (trop) étroitement liée avec d'autres poles politiques/économiques. Donc le droit du consommateur (ou encore pire: de l'artiste) passe illico à la trappe. La France devient l'Italie: quand t'es pote avec le grand Manitou (et que t'as les gros sous), t'as tous les droits... mm celui de n*quer le public et les artistes, et ce aux yeux de tous.