Pour certains, la crise est propice à l'abjection, justifiée en sus par une pure escroquerie intellectuelle.
«So Nice», une agence de communication belge qui subit également les conséquences de la crise, a décidé de prendre une décision pas très «nice» : elle devra se séparer de l’un de ses huit créatifs fin janvier 2009, et la tâche ingrate du choix du collaborateur incombera… aux internautes.
«Vous choisissez, on vire !»
Cynisme absolu.
Leur sort livré à la vindicte populaire.
Le pire : Déjà plus de 15000 internautes ont scellé le sort de personnes qu'ils ne connaissent pas, sans aucun état d'âme.