Bonsoir Koba,
Bon ben j'ai perdu une occasion de me taire, là... C'est vrai que je suis à la ramasse physiquement, alors la priorité est de retrouver un souffle plus porteur.
Là où je suis (relativement) admiratif, c'est que ton hygiène de vie adossée à une organisation impeccable te permet un entretien physique particulièrement sain.
J'ai me bien le fait que tu te sois monté ça selon tes besoins.
Désolé pour le terme "bobo", il ne t'était pas destiné.
Simplement, pour avoir il y a longtemps fréquenté ces salles de torture, je peux te dire que t'a intérêt à en "imposer" d'entrée.
Quand je pratiquais les haltères, il était difficile de se forger une place: il y avait des habitués qui n'avaient que àa à foutre et qui "squattaient" en permanence quasiment.
Sauf à rester jusqu'à des heures impossibles, pas moyen de suivre un programme. Il faut arriver à se faire accepter, adouber pour faire partie du groupe, pas évident. A ce moment là ça fonctionne.
Disons que je fonctionnais sur les appareils libres.
Dans ta situation, cela se comprends, je vois le truc. T'aimes ça, c'est presque une "drogue" et elle est très bonne. Et même de l'anti frime puisque ce n'est "que" pour les invités et les tiens. T'as rien à prouver là, c'est ce qui me plaît.
Je suis également fonctionnaire (d'état), dans mon corps il y a peu de bobos, mais sache que ce n'est pas le cas partout.
Et je vais te dire qu'en rentrant et après mes corrections, je n'ai pas toujours la force (morale) de fréquenter ces lieux, pas encore...
Il est bien loin le temps où tu n'avais "qu'à" réussir un concours certes difficile. Le temps où le métier était épanouissant...
Le société se complexifie, de nouveaux comportements apparaissent, le fonctionnariat (sauf rares exceptions) est bien loin de l'image d'Epinal de Coluche. Nous sommes de plus en plus gérés comme dans le privé. Nous sommes au contact direct des citoyens, enfants comme adultes.
Qu'il est loin le temps des débuts de GN, quel couillon j'ai été, je me contentais de lire les posts et ne me suis inscrit que plus tard. Bien m'en a pris.
Sans rancune.