Les producteurs de disques ont obtenu cette année 61 ordonnances sur requêtes qui ont donné lieu à la résiliation de l'abonnement.
Piratage de musique : pourquoi revoir nos méthodes de ventes lorsque l’on peut éradiquer le problème à la source ?
Voici sans doute l’idée lumineuse qui trotte actuellement dans l’esprit de M. Pascal Nègre, qui n’est autre que le président d'Universal Music France et de la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques).
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Bilan plus que ridicule : 61 ordonnances sur 12 mois.
Allez, Pascal, laisse toi pas dépérir. T'es déjà tout pâle. Va manger tes miettes.
Pendant ce temps, à l’autre bout du globe, dans un Pays nommé Etats-Unis, se joue l’avenir du monde…ou dans une moindre mesure, celui de la musique en ligne. En effet, la Cour suprême des Etats-Unis a rendu le 27 juin 2005 une décision cruciale : les sociétés à l'origine des réseaux de peer-to-peer Grokster et Morpheus peuvent désormais être tenus pour responsables des téléchargements illégaux de leurs utilisateurs.
Voila qui change considérablement la donne pour les procès à venir…
Ouais, surtout qu'on va pas être en reste en Europe. Comme dans la fable, on essayer d'être encore plus gros et plus c**s que nos lointains cousins, j'usqu'à en ... crever