La nouvelle avait fait grand bruit dans le monde du Net: en novembre 2005, la Cnil avait interdit à la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP) de pratiquer un traitement automatique de l’adresse IP (la carte d’identité d’un ordinateur) des internautes s’échangeant des fichiers musicaux via les réseaux P2P. Cette décision vient d’être annulée mercredi par le Conseil d’Etat.
Ca traine pas.
Qui ne se prosterne pas devant la petit Bokassa, sera envoyé au goulag.