ditche a écrit:A fond et il y a du choix.
Fossé des générations...
Excellent Difficile de décrocher de celle-làaMadEUs a écrit:Digitally Imported
Trance, hard trance, hard house, eurodance, classique
Koba a écrit:Le nom est sans équivoque, mais si vous avez dansé sur des trucs ringards, ça pourrait vous faire sourire : Bide & Musique
Seul bémol (quel jeu de mot à 2 balles...), il faut s'inscrire...
CptDobey a écrit:Un article intéressant sur un prog sympathique qui permet d'enregistrer jusque 300 radios internet simultanément en mp3 :
http://www.ratiatum.com/p2p.php?id_dossier=1999&page=1
CapJack a écrit:Et tu le trouves quand, le temps d'écouter tout ça ?
Scaramanga a écrit:Attention !!!
l'article L122-5 du Code de la propriété intellectuelle n'est pas applicable en l'espèce :en effet, seuls les diffuseurs payent les droits de diffusion et en aucun cas un droit de fixation n'est prévu pour l'auditeur...
Lire la suite sur Présence PC
CptDobey a écrit:Quelqu'un veut réclamer l'asile politique en Belgique ?
CapJack a écrit:CptDobey a écrit:Quelqu'un veut réclamer l'asile politique en Belgique ?
Non. C'est une monarchie.
Les webradios, ce sont ces radios, souvent musicales, qui diffusent uniquement sur Internet.
Pour les écouter, il faut un ordinateur et des haut-parleurs ou un casque. Il en existe des centaines mais malheureusement très peu en Français car ces radios ont encore des problèmes à régler pour avoir le droit de diffuser de la musique sur Internet.
Ces webradios de même que les webtélés relèvent du « droit exclusif » c’est-à-dire que pour diffuser des chansons il faut les autorisations de chaque ayant droit.
A l’occasion du Midem, l’ADAMI, l’association des artistes interprètes, fait des propositions. Elle suggère que les webradios soient soumises au même régime que les radios traditionnelles, hertziennes, c'est-à-dire au régime de la rémunération équitable. La rémunération équitable, c’est l’obligation de payer une rémunération aux auteurs, aux artistes interprètes et aux producteurs et en contrepartie la possibilité de diffuser de la musique sans autorisation préalable. Un système simplifié qui pourrait permettre, selon l’ADAMI, l’essor des Webradios.
Autre proposition de cette association : elle concerne le peer-to-peer. Selon l’ADAMI, le fait de télécharger de la musique dans un cadre familial serait un acte de copie privée. Plutôt que de faire de la répression, il faudrait donc légaliser ces échanges en prévoyant un mode de rémunération pour les artistes qui pourrait être compris dans l’abonnement que payent les internautes à leurs fournisseurs d’accès.
On voit même se développer aujourd’hui des logiciels qui permettent d’écouter de la musique simultanément à plusieurs, entre amis, par Internet.
Ces questions qui visent à définir un cadre pour la musique face aux nouvelles technologies n’ont pas fini de faire débat…
En Belgique, l'enregistrement à usage privé est légal.
Ce et y compris le download via les prog de p2p.
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