- Les consommateurs se voient confrontés à diverses entraves à la copie privée en raison de la mise en oeuvre de procédés techniques empêchant ou restreignant les possibilités de copie, l'entrave ultime étant constituée par la destruction programmée du support au moment de la copie.
- Les acquéreurs des supports permettant théoriquement l’exercice de la copie privée s’acquittent finalement d’une redevance rendue inutile par les dispositifs anti-copie.
- Les consommateurs de DVD préenregistrés sont délibérément trompés par les éditeurs et producteurs qui, par des mentions écrites sur les jaquettes des DVD, tentent de leur faire croire que toute copie est interdite.
- La simple lecture d’une jaquette de DVD permet de s’apercevoir que l’information sur l’existence d’un dispositif anti-copie, réalisée par l’insertion d’ un minuscule sigle « cp » au verso de la jaquette est insuffisante.
Vous pourrez retrouver plus de détails dans l'assignation devant le Tribunal de Commerce de Paris (PDF, 67 Ko).
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