Le P2P vient de voir la victoire qu'il avait obtenue en 2003 devant le juge de première instance confirmée en appel, à savoir que du fait qu'elle facilite le piratage massif, ne peut être déduite l'illégalité en soi de cette méthode d'échange de fichiers.
Pour aboutir à cette conclusion, le juge d'appel a repris la comparaison avec les photocopieuses et les magnétoscopes, qui, eux aussi, facilitent - ou du moins, peuvent faciliter - la copie illégale d'oeuvres protégées par le droit d'auteur, mais qui n'en sont pas pour autant illicites en eux-mêmes !
La suite ici.