Le principe est le suivant : vous avez cliqué sur le bouton J’aime sur la page d’une marque (drôle d’idée mais pourquoi pas), par exemple vous aimez les balais à récurer de la marque “WC net”. Mauvaise idée votre nom et votre photo peuvent maintenant être associés aux campagnes publicitaires de “WC net” pour promouvoir les balais à récurer de la célèbre marque après de tous vous amis. Votre réputation va en prendre un sacré coup. Bien entendu Facebook ne vous demande pas votre avis et ne vous versera aucune commission…
Facebook a bien fait le travail de nous formater aux statuts et aux « likes ». Mais plus il devient mass-media, moins il est sexy. Tôt ou tard surgira un réseau social alternatif qui deviendra le nouveau lieu des rebelles de tous âges. Facebook est condamné à subir ce qu’il a infligé aux Skyblogs ou à MySpace : une ringardisation accélérée. Toutes ces gamines et ces gamins qui ont aujourd’hui 8, 9, 10 ou 11 ans, vont-ils vouloir s’afficher au même endroit que leur mère ou leur grand frère dans deux ans ? Certainement pas.
gowap a écrit:Concernant Facebook, je suis un mécréant, au discours constant, il me semble avoir deja dit que la question n'était pas tant de savoir si cela va arriver (être supplanté) mais quand cela arrivera.
Plusieurs médias américains ont été contactés par une agence de presse travaillant pour un mystérieux client souhaitant ternir l'image de Google.
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Facebook estimerait que la stratégie de Google dans le domaine des réseaux communautaires soulèverait plusieurs inquiétudes concernant la protection de la vie privée
L'affaire se passe à Salt Lake City. Un homme de 36 ans, souhaitant échapper à une condamnation pour détention de drogue, a retenu une femme en otage... et communiqué avec ses amis sur Facebook pendant les 16 heures de la prise d'otage.
Lors d'un récent entretien, la directrice marketing de Facebook a plaidé pour la disparition de l'anonymat en ligne afin de rehausser le niveau des discussions. Une proposition qui trouve un certain écho, notamment chez Google et quelques politiques, mais qui se heurte à d'autres considérations, comme le droit à l'oubli ou à la liberté d'expression.
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