Des milles radars de l'époque , on est déjà à plus de 2300, et 4500 d'ici à 2012.
Mais ce qui n'a pas été pensé intelligement, c'est que plus il y a de radars, moins ils rapportent unitairement, et comme les couts d'entretien augmentent, moins ils deviennent rentables.
Ce qui fait qu'à moyen terme, ils couteront plus cher à entretenir, que ce qu'ils rapporteront.
Et hop ! Un impot pour financer l'entretien des radars.
La vaseline sera envoyée avec la contravention !
En 2009, le produit des amendes radars devrait s'élever à 550 millions d'euros», soit «une hausse prévisible de 23% par rapport à 2008 en raison du nombre plus élevé d'installations qui devrait passer de 2.300 l'année dernière à 4.500 d'ici à 2012», observe Hervé Mariton. L'élu émet toutefois des réserves sur la multiplication des radars le long des routes françaises: «Depuis 2007, la diminution des recettes unitaires est de 17%. Si cette baisse se poursuit, les recettes des amendes ne couvriront plus dès 2017 le coût de maintenance des radars, toujours plus important.
A noter que ce n'est pas la première fois que le CNT donne une impression d'amateurisme, et est aussi mis en cause pour le non respect de la législation prévue en cas de doute sur un flashage.
Sa visite au Centre national de traitement (CNT) des procès-verbaux lui a d'ailleurs laissé «une désagréable impression». Diplomate, Hervé Mariton ne remet pas le système en cause mais voudrait que son fonctionnement soit plus rigoureux
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