Lundi 2 août, le conseil de prud'hommes de Paris a demandé une expertise du contrat du chanteur et a ordonné à sa maison de disques, Universal Music, de lui remettre les bandes originales de ses chansons. Mais l'artiste n'a pas pour autant le droit de les exploiter.
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Mon pôvre monsieur, quand le sort s'acharne...
Après les mauvaises ventes de CD dues au "piratage" (on a enfin trouvé un bouc émissaire), voilà t'y pas que notre Johnny national lui retire l'épais matelas de pognon sur lequel il s'était confortablement endormi en attendant la retraite.
Et, ben non, il faudra gagner ta croute...