Pour en revenir à la température idéale dans une pièce à vivre je suis de l'avis de mes compatriotes, 19°c c'est pas assez chaud pour être à l'aise, visiblement Belges et Québécois sont plus proches de Demis le poilu ...
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Hier, le chef de la délégation saoudienne à Copenhague est revenu sur le "climategate", à savoir le piratage des serveurs d'un laboratoire du GIEC fin novembre. Les hackers ont pu accéder à 1073 échanges d'e-mails (disponibles sur ce site), dont l'un évoque l’usage d’une "astuce" pour dissimuler une divergence dans certains jeux de données.
Pour Mohammed Al-Sabban, "le niveau de confiance est affecté". Il a même demandé la tenue d'une enquête internationale sur l'affaire. Une déclaration qui fait tache à l'ouverture du sommet international sur le climat.
.Après l'affaire des emails piratés du «climategate» fin novembre, la réputation du GIEC est à nouveau écornée. Le chef du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) a cependant défendu mardi à Abou Dhabi son groupe sur une prévision erronée sur la fonte des glaciers de l'Himalaya.
En 2007, dans son 4è rapport, qui lui avait valu le Prix Nobel de la Paix, le GIEC avait estimé que les glaciers de l'Himalaya reculaient plus vite que les autres du monde et «pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant».
Une erreur signalée en 2006
La polémique a éclaté ce week-end après un article du Sunday Times. Selon le quotidien britannique, l'échéance de 2035 pourrait n'être fondée sur aucune recherche valide et avait été utilisée à l'origine par l'organisation environnementale WWF. Interrogé par l'AFP lundi, un éminent glaciologue autrichien et l'un des co-auteurs du rapport de 2007, le Pr Georg Kaser, de l'Institut de glaciologie d'Innsbrück, a assuré avoir attiré l'attention de ses pairs sur cette «erreur» dès 2006.
«Fin 2006 (...) j'ai pris connaissance de cette erreur et de quelques autres. C'était après la dernière revue, mais avant la publication, donc on avait encore une possibilité de modifier» le texte, a-t-il expliqué. «Je l'ai fait remarquer. Pour une raison que j'ignore, ils n'ont pas réagi», a-t-il ajouté, regrettant «un certain amateurisme» de la part de certains de ses collègues chargés de ce chapitre
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