Stef a écrit: l'aire numérique..........
C'est quoi la formule pour la calculer
Sinon moi pareil, radio à gogo dans la voiture, et chez moi soit webradio soit site de streaming pour les clips
Stef a écrit: l'aire numérique..........
Le ministère de la Culture ne se soucie pas seulement de l’impact d’Hadopi dans les médias. En pleine guerre de l’info et de la communication, il veut également connaître l’opinion du web sur la politique du ministre.
La SACEM avec l’Adami ont d’une seule voix réclamé la mise en place d’une contribution financière pour compenser le téléchargement illicite, mais aussi les échanges hors marché. La nouvelle risque de piquer aux yeux des internautes : la loi Hadopi et sa fameuse riposte graduée n’était-elle pas censée résoudre la question de l’offre légale ? Comment justifier une telle ponction ?
C’est sans surprise que le Syndicat National de l’Édition phonographique s’est opposé à l’idée de la SACEM et l’ADAMI, taxer les FAI pour compenser les dommages causés par le piratage.
Sujet hier soir de l'émission "Ce soir ou Jamais" de Frédéric Taddei : « les pièges d’Internet et la nécessité, ou pas ?, de le contrôler ». La régulation, les normes, leur violation, etc. Évidemment, pour un tel sujet France 3 ne pouvait pas ignorer Frédéric Lefebvre qui sera présent sur le plateau, tout comme Jacques Séguéla.
Dans l’émission seront aussi invités Emmanuel Hoog, PDG de l’INA, et d'autres spécialistes du Web comme Yoram Elkaim, directeur juridique de Google et Benjamin Bayart de French Data Network, plus ancien FAI français et auteur d'une fameuse conférence, défenseur invétéré des libertés numériques.
TF1 pourrait écoper d’une baffe financière du CSA, notamment suite au JT de la chaîne qui présentait un l’hémicycle plein à craquer pendant un vote calamiteux d’Hadopi 1. Un manquement à honnêteté de l’information,
HADOPI - Cette fois, c'est la Cnil qui empêche l'application...
Nouvelle faille pour Hadopi, la loi anti-téléchargement votée au Parlement tant bien que mal cette année. Les décrets d’application, qui n’ont pas encore été publiés, ont été soumis à l’avis de la Cnil, la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés. Or celle-ci n’a pas rendu son avis, révèle La Tribune, ce qui bloque le processus et empêche le gouvernement d’appliquer la loi. «C’est son moyen le plus efficace de mettre un énième bâton dans les rouages déjà rouillés d’Hadopi, puisque son silence bloque totalement la procédure d’application», précise Ecrans.
Toujours selon La Tribune, le gouvernement va probablement «ne pas déclarer la guerre à la Cnil, mais de se plier à ses demandes en lui transmettant le projet de décret sur la procédure de sanction appliquée aux pirates.»
« La France est la championne du monde du piratage », claironnent les pro-Hadopi, vrai ou faux ? Quant au téléchargement, pénalise-t-il vraiment plus les maisons de disque que les artistes, comme bon nombre d’anti-Hadopi le prétendent ?
C’est à ce genre d’idées plus ou moins reçues que s’est attaqué le Monde.fr
PIER a écrit:Ne pas oublier qu'il s'agit d'un logo piraté !!!
Simple bourde? Le logo tout neuf de la toute récente Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits Internet, installée vendredi par le ministre de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand, aurait été réalisé avec une typo nommée Bienvenue. Problème: celle-ci est une exclusivité réalisée en 2000 par Jean-François Porchez pour France Télécom. Elle est donc interdite d'utilisation.
Pour sa défense, l’agence Plan créatif, qui a signé le logo, plaide lundi le bug technique.
TMG surveillera quatre réseaux de P2P et procédera à 25 000 relevés d’infractions par jour. La surveillance ne s'arrêtera pas au P2P. « Un premier bilan sera fait au bout d'un an, et nous pourrons étendre notre dispositif à d'autres plates-formes pour tenir compte de l'évolution des usages. Notre prestataire, TMG, sait le faire », avertit Marc Guez, sans préciser les plates-formes visées. Le streaming, les hébergeurs de fichiers (du type Rapishare) ou encore les newsgroups sont dans le collimateur.
Thierry Lhermitte, double acteur
On attend maintenant les détails économiques et techniques sur ce marché. Toutefois, une particularité : cette société, Trident Media Guard, compte parmi ses membres l’acteur Thierry Lhermitte qui va ainsi jouer sur les deux tableaux… Comme nous l'indiquions dans cette actualité, quelques jours après le vote d'Hadopi, l'acteur des Bronzés avait ainsi souscrit 5 000 actions dans cette société.
« Du coup, forcément, je vois bien la tête que font les comptes, et, beaucoup plus grave, ce que rapportent les campagnes de dons, puisque c'est moi qui comptabilise le résultat. Et pour le moment, ma conclusion est sans appel: sur un rythme comme celui-là, c'est simple, il faut arrêter. Finir ce qu'on peut des luttes en cours sur le budget déjà en caisse (pas négligeable, mais on n'atteindra pas l'été), et passer à autre chose. »
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