Gravure-News

[Koba]

Ah ben non ! Robert Englund, c'est quand même Freddy, aussi, mon p'tit père ! Et puis bon... En '64, les actrices étaient moins dévêtues qu'en 2005 !

Hier, j'ai changé de registre en regardant A Tombeau Ouvert. Que j'avais déjà vu, mais aussi complètement oublié. Mais cette seconde séance m'a permis de me souvenir pourquoi je l'avais oublié. Ce qui signifie qu'il y en aura peut-être une troisième...

Je n'en retiendrai que l'ambiance oppressante de la nuit et la folie qui s'éveille à la tombée du jour. Et une bande son très sympa.

Mais je dois admettre que j'étais crevé hier soir et que je ne gardais les yeux ouverts qu'au prix d'un énorme effort, ce qui explique peut-être en partie que je sois passé à côté de ce film.

[CptDobey]

Freddy... c'est bien ce que je disais.
Soyons sérieux, j'aime bien ce cher Robert, mais c'est un sacré B-man, si pas un Z-man...

Et je ne parierai pas sur l'absence de nudité dans la version de 64. Ce cher Ershell est l'initiateur de genre gore (avec Blood Feast) et à l'époque, c'était tout aussi transgressif de montrer des nichons, donc... L'un allait avec l'autre.

(oui, oui, les fameux films gore-nichon )

[Koba]

Fous d'Irène, aussi déjanté que Dumb & Dumber, m'a dérouillé les zygomatiques. C'est idiot à mourir, mais j'adore ! J'ai failli tomber bas de mon fauteuil plusieurs fois, notamment avec la vache !

(Mais ne me demandez pas pourquoi j'accroche aux films des frères Farelly et pas à des trucs comme Hot Shots ou encore La Panthère Rose...)

[Koba]

Charlie's Angels. Un divertissement à oublier aussitôt le générique de fin terminé, mais néanmoins sympathique, ne se prenant pas au sérieux, rythmé et pourvu d'une bande son efficace. Du cinéma - très - léger (comme les tenues des 3 héroïnes...) mais qui remplit son rôle de petit divertissement sans prétention.

[Jule69]

Apocalypto, ça finnit où J'aurrais aimé que ça commence mais ç'est quand même très bon. En espérant qu'il y ai un suite.

[Koba]

Pour ne pas regarder que des trucs débiles, j'avais choisi de voir hier Shizo, un film kazakh bien coté par la presse.

Pfff... L'histoire est simple et peut-être touchante à certains égards, mais il est difficile de se sentir vraiment concerné par un monde qui nous est totalement étranger et dans lequel ni le scénario ni la mise en scène n'arrivent vraiment à nous faire entrer.

Ou peut-être est-ce une nouvelle fois mon indifférence aux tranches de vie d'ailleurs qui a joué. Même si je ne crois pas être nécessairement hermétique à ce genre d'oeuvre.

Bof...

[Koba]

Oh, j'ai failli oublier un autre monument du cinéma que j'ai récemment regardé : Horribilis. Série B. Débile. Sans intérêt et sans aucune originalité par rapport aux productions du genre datant des années '80. A moins que je ne sois décidément trop vieux et trop grincheux pour ces c*nneries.

[ditche]

Alors alors :


Babel (au cinéma)

En plein désert marocain, un coup de feu retentit. Il va déclencher toute une série d'événements qui impliqueront un couple de touristes américains au bord du naufrage, deux jeunes Marocains auteurs d'un crime accidentel, une nourrice qui voyage illégalement avec deux enfants américains, et une adolescente japonaise rebelle dont le père est recherché par la police à Tokyo. Séparés par leurs cultures et leurs modes de vie, chacun de ces quatre groupes de personnes va cependant connaître une même destinée d'isolement et de douleur...

Lent...
7/10


Collision

Deux voleurs de voitures. Un serrurier mexicain. Deux inspecteurs de police qui sont aussi amants. Une femme au foyer et son mari, district attorney. Tous vivent à Los Angeles. Eux et beaucoup d'autres ne se connaissent pas, leurs vies n'auraient jamais dû se croiser.
Pourtant, dans les prochaines 36 heures, leurs destins vont se rencontrer, révélant ce que chacun voulait cacher ou ne pas voir...

8/10


Les choristes

En 1948, Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi accepte un poste de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs ; le système répressif appliqué par le directeur, Rachin, bouleverse Mathieu. En initiant ces enfants difficiles à la musique et au chant choral, Mathieu parviendra à transformer leur quotidien.

Je pensais que ça allait me saouler, mais non.
8/10


Maintenant on l'appelle Plata

Plata et Salud arnaquent leur monde en simulant des crashs d'avion, puis en se remplissant les poches avec les primes d'assurances. Mais un jour, leurs arnarques se retournent contre eux : ils atterrissent en catastrophe dans la jungle amazonienne. Une drôle d'aventure commence pour eux...

Bud Spencer et Terence Hill quoi.
7,5/10


On continue à l'appeler Trinita

Trinita et son demi-frère Bambino continuent de mener la vie dure aux brigands.

Idem.
7,5/10


Tolérance zéro

Après une brillante carrière dans les Forces Spéciales, Chris Vaughn fait un retour discret sur les lieux de son enfance. Nichée au coeur des forêts du nord-ouest des Etats-Unis, la communauté de Ferguson offre à ses yeux un spectacle de désolation. Cette bourgade, jadis si paisible et qu'il aimait tant, est tombée sous la coupe de l'homme d'affaires véreux Jay Hamilton, son ennemi de toujours...

7/10

[Koba]

Même si je n'ai pas encore vu Babel, je suis scié que tu mettes à ce film la même cote qu'à Tolérance Zéro. (Oui, je sais, tu vas encore rappeler ton explication à la noix sur ta façon de donner des cotes aux films que tu regardes...)

[PIER]

On continue à l'appeler Trinita et Collision ne sont séparés que par un petit 0,5.
La bande annonce de "Tolérance Zéro" vaut son pesant de cacahuètes...

Ditche a-t-il déjà mis un 10 ?
[EDiT] 9/10 pour "Les ailes de l'enfer" on approche le chef d'œuvre.

[CptDobey]

On continue à l'appeler Trinita et Collision ne sont séparés que par un petit 0,5.

C'est vrai que Trinita mérite mieux que ça.
Parce que Collision... booooooooooarf... c'est quand même un film foutrement convenu au casting tape à l'oeil. Fort creux au final. Pas mauvais,hein, mais déçu je suis.

[ditche]

On continue à l'appeler Trinita et Collision ne sont séparés que par un petit 0,5.

C'est vrai que vu comme ça, ça cloche.

Ditche a-t-il déjà mis un 10 ?
[EDiT] 9/10 pour "Les ailes de l'enfer" on approche le chef d'œuvre.

Comme disait un de mes profs d'histoire : je ne mets jamais 10/10 car seul Dieu est parfait.

[ditche]

Dieu pardonne... moi pas !

Cat Stevens et Hutch Bessy font équipe pour affronter une bande de criminels qui sème la terreur.

Hill + Spencer !
6.5/10


Hantise

Sous prétexte de les guérir de leurs insomnies, le docteur David Marrow a invité à "Hill House" trois de ses patients, Theo, jeune femme belle et élégante; Luke, cobaye professionnel qui est venu pour gagner un peu d'argent ; et Lili, fragile, sensible et vulnérable. En réalité, le docteur conduit une expérience sur les mécanismes de l'angoisse. Or, le château de "Hill House", lugubre résidence construite au XIXe siècle par le richissime industriel Hugh Crain, homme cruel et tourmenté, a la reputation d'être hanté.

7/10


Le village

Une petite communauté isolée vit dans la terrifiante certitude qu'une race de créatures mythiques peuple les bois entourant le village. Cette force maléfique est si menaçante que personne n'ose s'aventurer au-delà des dernières maisons, et encore moins pénétrer dans les bois... Le jeune Lucius Hunt, un garçon entêté, est cependant bien décidé à aller voir ce qui se cache par-delà des limites du village, et son audace menace de changer à jamais l'avenir de tous...

Du même réalisateur, je le préfère à Signes.
7,5/10


Le Vol du Phoenix

Le capitaine Frank Towns, son copilote et mécanicien, prennent à bord de leur avion les ouvriers d'une plateforme pétrolière, menés par Kelly Johnson. En direction de Pékin, ils croisent une tempête de poussière qui provoque le crash de l'engin. Ils se retrouvent alors à des centaines de kilomètres de tout en plein désert de Gobie, en Mongolie.
Sans même une radio, les survivants doivent désormais faire face à des conditions de survie très dure : La chaleur intense, les tempêtes, une faible réserve d'eau potable, les "bandits du désert", et bien d'autres encore. La situation semble désespérée jusqu'à ce qu'un passager excentrique, Elliot, redonnent de l'espoir à chacun avec l'idée improbable de reconstruire un avion à partir des débris du crash.

8/10

[Koba]

L'Empire des Loups. Mouais... L'ambiance, très proche de celle des Rivières Pourpres, m'a plu, mais le scénario est assez pathétique. L'histoire n'a finalement ni queue ni tête. Des bouts semblent y avoir été rattachés ici et là pour tenir deux heures, avec comme résultat un truc qu'on peine à comprendre. Au risque de me répéter, je n'en retiens que l'atmosphère.

[Koba]

Le cinéma français ne me réussit pas pour le moment... J'ai regardé Qui a tué Bambi ? hier. Bof... Alors que l'idée de départ est bonne et que Laurent Lucas a le profil parfait pour son rôle d'inquiétant médecin, la mise en scène fait capoter le tout. La tension ne monte pas, l'intrigue s'avoue beaucoup trop vite et les questions posées restent finalement sans véritable réponse... Seule la dernière demi-heure est plus angoissante, mais à un degré nettement inférieur à celui escompté. Bref, un ratage complet. Même si l'idée de départ était à mes yeux vraiment prometteuse et même si Sophie Quinton est mignonne.

Dans un tout autre registre, j'ai été scotché à l'écran par Miami Vice. N'ayant jamais regardé la série, je ne peux me prononcer sur sa conversion au grand écran. Mais alors que le scénario tient sur un timbre-poste (et encore, un petit timbre !), la mise en scène, cette fois-ci, sert magistralement le film. Le rythme de celui-ci ne faiblit pas. La photographie nocturne est superbe et rappelle fortement Collateral. Bref, le but - délasser pendant deux heures - est pleinement atteint. Un chef-d'oeuvre dans sa catégorie.

[Koba]

Ce soir : Breakfast On Pluto. Tantôt grave et émouvant, tantôt léger et désinvolte, le film oscille continuellement d'un genre à l'autre. Le concept est sympathique et donne un film qui, sans être génial, se laisse agréablement regarder en sortant des sentiers battus. Le tout servi par une bande son au top.

[Koba]

Amère déception avec Lantana, pourtant positivement accueilli par la critique. Oscillant entre le film choral, le polar et l'étude de moeurs, Lantana reste en-dessous du minimum syndical pour chacun de ces genres : les téléscopages de destins sonnent épouvantablement faux, le suspense policier reste à l'état d'embryon et l'analyse des déboires conjugaux des protagonistes ne dépasse pas le stade de l'anecdote.

Bref, un film lent, qui essaie de toucher à tout mais qui, par manque d'envergure, rate finalement consciencieusement tous ses objectifs.

[CptDobey]

T'es en vacances ?
Enfin... J'veux dire: tu es chez toi la journée ?

[Koba]

Mieux que ça mon grand ! (J'anticipe déjà quelques grincements de dents...) J'ai fini l'année depuis vendredi dernier !

Raison pour laquelle je peux aussi te parler de The Hard Corps, le dernier Jan-Clod. L'est plus humain que dans ses premiers films, not'Jan-Clod. Mais l'est quand même toujours super fort. Aussi la morale du film, l'est très forte : les méchants, ça perd, les gentils, ça gagne et puis tout le monde s'embrasse.

Bon, j'suis un peu dur, le divertissement était regardable, mais un bon cran en-dessous de L'Empreinte de la Mort. (Euh... Sans crier au génie pour ce dernier film, hein !)

[garfield67]

Mieux que ça mon grand ! (J'anticipe déjà quelques grincements de dents...) J'ai fini l'année depuis vendredi dernier !

Quelque soit le pays ou on se trouve, les fonctionnaires eux, sont tous pareils...